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Le Low-Code s’enflamme. Les sceptiques se font enfumer, partie 1 sur 3

Roland Alston, Appian
July 29, 2019

(Ce témoignage constitue le premier épisode d’une série en trois parties sur la valeur commerciale du développement Low-Code et la façon dont vous pouvez transformer des idées innovantes en logiciel unique 20 fois plus rapidement que vos concurrents.)

Dans le monde de la transformation numérique à la demande, les entreprises s’intéressent beaucoup plus aux logiciels qu’auparavant. Qu’en est-il des entreprises les plus performantes ? Elles éclairent la concurrence lorsqu’il s’agit de transformer une idée innovante en un logiciel unique et de la mettre à l’échelle.

Cela ne veut-il pas dire que vos développeurs sont obligés de tout coder à la main pour que votre entreprise devienne une organisation « dure à cuire », axée sur les logiciels ? S’ils ont le temps et les compétences techniques nécessaires pour le faire, tant mieux pour eux.

Mais sous la pression de la transformation numérique, l’agilité est reine. Les menaces disruptives n’attendent pas. Le développement Low-Code a trouvé un allié de choix en la personne du DSI de l’entreprise, qui cherche à intégrer des processus de développement Agile à son service informatique. Plus précisément :

Selon Forrester, 84 % des entreprises ont opté pour le développement Low-Code afin de réduire les contraintes exercées sur les ressources informatiques, d’accélérer la mise sur le marché et de faire participer les chefs d’entreprise au développement des ressources numériques.

Le temps, c’est de l’argent : la valeur de l'entreprise à la vitesse du Low-Code

Les plates-formes Low-Code facilitent la création rapide d’applications d’entreprise puissantes et la restructuration de tout processus métier sans écrire un million de lignes de code. L’interface conviviale par glisser-déposer d’une plate-forme Low-Code moderne permet aux développeurs et aux utilisateurs non-techniques d’unifier les données de l’entreprise dans une vue contextuelle simple, à portée de clic de toute incidence économique. Les connecteurs préconstruits et les API faciles à configurer garantissent une intégration plus rapide, ce qui permet d’économiser beaucoup de temps et d’argent et d’éviter les frustrations. En plus, le Low-Code permet aux utilisateurs de déployer instantanément des applications par le Web, mobile et plus encore.

Eric Bloom, directeur exécutif de l’IT Management Institute, a déclaré : « Avant, les analystes métiers s’informaient sur les besoins. Ceux-ci étaient convertis en un document qui servait de base à la conception du logiciel. Aujourd’hui, l’analyste métier, en concertation avec l’utilisateur, peut efficacement créer l’application à la volée. Ainsi, le Low-Code réduit considérablement les coûts en accélérant le développement et l’implémentation. »

« Soixante-quinze pour cent des activités liées à la transformation digitale consistent à utiliser des technologiques numériques pour optimiser les performances, réduire les coûts et gagner en compétitivité. Nous le faisons depuis toujours…

Mais l’impact du Low-Code se ressent tout particulièrement dans la reconfiguration de processus, car il est alors possible de développer rapidement pour améliorer les processus internes. C’est très utile pour les entreprises qui désirent transformer leurs opérations internes d’une manière conforme aux principes de la transformation numérique. »

—Eric Bloom

Plus de points de données sur la valeur de l'entreprise grâce au Low-Code, basés sur une récente étude d'IDC :

    • 509 % de retour sur investissement sur cinq ans

    • Période d’amortissement de 7 mois

    • Cycles de développement jusqu’à 72 % plus rapides

    • Augmentation de la productivité de 25 % pour les utilisateurs métier

    • Augmentation de 42 % de l’adoption de nouvelles applications par les utilisateurs

    • Augmentation de la productivité de 123 % pour les équipes du processus opérationnel

    • Augmentation de 14,8 millions de dollars des revenus par an

Prouver que les sceptiques du Low-Code ont tort

« Il ne s’agit que de la remise au gout du jour du développement d’applications rapides à l’ancienne… Cela ne durera pas… Ce n’est que pour les non-développeurs… Il manque la puissance du codage personnalisé. » Blablabla. Les sceptiques seront sceptiques. C’est leur métier. Mais le meilleur argument pour prouver que les sceptiques ont tort est le nombre élevé de clients qui font passer le message selon lequel le Low-Code est plus rapide, plus agile et beaucoup plus puissant que le RAD d’hier.

Il existe également un mythe qui veut que le développement Low-Code convienne uniquement aux petites applications de service et au développement à petite échelle. Pourtant, les énormes défis que doivent relever les entreprises en matière d’intégration des données sont, à bien des égards, bien plus complexes que les capacités de l’ancien RAD et le Low-Code joue un rôle essentiel dans leur résolution.

https://youtu.be/UNYDh3rU-BQ

À l’ère des applications à la demande, il est difficile de concurrencer et de gagner avec une approche de développement d’applications à la mijoteuse.

En réalité, pour les entreprises qui n’ont pas opté pour le passage au Low-Code, la question n’est pas de savoir quand ni si elles seront perturbées. Cela se produira et cela pourrait se produire dès maintenant.

S’agira-t-il d’une start-up rivale, d’un leader du marché de longue date ou d’un géant de la technologie qui bafoue les opérateurs en place sur votre marché ? Les perturbations numériques bouleversent même les industries à faible technologie et créent de nouvelles opportunités pour transformer la manière dont les clients interagissent avec les marques. Par conséquent, comment pouvez-vous tirer parti de cet environnement volatil ? Et si vous pouvez le faire, comment pouvez-vous prospérer dans un monde où l’innovation se fait à la vitesse numérique ?

Il est aisé de penser qu’être un chef de file du marché est sans danger, mais nous faisons à présent face à une situation où l’espérance de vie moyenne d’une entreprise figurant au classement S&P 500 a même chuté de 60 ans dans les années 1950 à moins de 20 ans aujourd’hui, selon le Credit Suisse.

Il est bien plus judicieux de renforcer votre chaîne de valeur avec des applications uniques qui aident les clients à être satisfaits plus rapidement. C’est là que le développement Low-Code entre en jeu.

Décomposition de la proposition de valeur du Low-Code

En résumé, le Low-Code est une nouvelle façon de transformer des idées en applications métier 20 fois plus rapidement qu’en écrivant du code. Cela est dû au fait qu’avec une plate-forme de développement Low-Code, les applications ne sont pas codées. Il vous faut la dessiner comme un organigramme. Votre intention, c’est-à-dire ce que votre nouvelle application doit pouvoir faire, est dessinée.

Les interfaces, les règles et les intégrations sont configurées par glisser-déposer et la plate-forme Low-Code se charge du reste. Le Low-Code est à la fois intuitif, simple et rapide. Aucun diplôme en informatique n’est nécessaire pour l’utiliser. En conséquence, de nombreuses grandes entreprises se sont tournées vers le Low-Code pour atténuer les pressions exercées sur les ressources informatiques et pour faire participer les utilisateurs opérationnels au développement des ressources numériques.

Il est également intéressant de noter que quand une application est conçue avec une plate-forme Low-Code, celle-ci est mise à jour automatiquement. Cela signifie qu’elle peut même évoluer pour être exécutée sur des appareils qui n’existent pas à ce jour.

Cela élimine le problème de la dette technique qui engloutit jusqu’à 38 % des cycles de développement de logiciels, selon une récente enquête réalisée par IDG. Mieux vaut éviter ce type de problème, étant donné les centaines, voire les milliers d’applications, systèmes et processus hétérogènes que compte votre entreprise.Autre paramètre à prendre en compte : les applications exécutées sur une plate-forme Low-Code moderne héritent des capacités de fiabilité et de sécurité sous-jacentes de cette plate-forme.

En d’autres termes, les meilleurs fournisseurs Low-Code prennent très au sérieux la sécurité et la disponibilité du cloud, de sorte que les niveaux de sécurité les plus élevés sont intégrés.

https://youtu.be/7TUm4CzVwUwCela inclut des SLA pour la disponibilité, des fonctionnalités de haute disponibilité, des niveaux de sécurité supérieurs et une architecture hautement évolutive. Vous bénéficiez également des avantages des normes FedRamp, PCI-DSS, SOC 2, SOC 3, HIPAA et bien plus. Il est également intéressant de noter que les développeurs d’applications ne sont pas obligés de travailler davantage pour tirer parti de ces avantages :

les protocoles utilisés par votre entreprise importent peu, qu’il s’agisse d’intégrations standard de type HTTP, OAuth ou SOAP ou de technologies récentes comme OpenAPI ou Swagger, le Low-Code réduit le temps nécessaire pour créer une application hors du commun sur la dernière version de votre feuille de route produits.

Le Low-Code parait simple, mais ne confondez pas la simplicité avec le manque de puissance. Selon une étude récente de Forrester, le Low-Code est une solution industrielle capable de prendre en charge rapidement les applications métier les plus exigeantes et de surmonter les obstacles les plus difficiles à une transformation numérique réussie.

La vitesse de génération de puces peut doubler tous les deux ans. Alors, pourquoi pas le développement de logiciel ?

En 2014, Forrester a commencé à suivre une catégorie de logiciels en pleine croissance, que le cabinet a baptisés « plates-formes de développement Low-Code » et qui sont définis de la manière suivante :

« Des plates-formes qui permettent de livrer des applications métier rapidement, avec peu d’écriture manuelle de code et un investissement initial minimal dans la configuration, la formation et le déploiement. »

Aujourd’hui, chaque entreprise doit penser comme une entreprise de logiciels et chaque entreprise est en concurrence sur la base d’applications logicielles uniques. Le logiciel est devenu le nouveau champ de bataille. Et votre réussite ou votre échec dépend plus que jamais de votre capacité à concevoir des applications uniques plus rapidement avec moins de ressources et avec une livraison itérative plus rapide que celle de vos concurrents.

Matt Calkins, PDG d’Appian, dans une récente entrevue avec Computerworld UK a affirmé ce qui suit : (À propos, Appian est la première entreprise Low-Code cotée en bourse.)

« Tous les deux ans, notre objectif est de réduire de moitié le travail nécessaire à la création d’une application. Dans deux ans, il faudra moitié moins de travail et deux ans plus tard, un quart de travail. C’est comme la loi de Moore, sauf qu’à la place de la taille du transistor, il est question du travail nécessaire à la création de votre application. »

(Ne manquez pas, la semaine prochaine, le prochain épisode de cette série en trois parties sur la façon dont le développement Low-Code aide les entreprises à créer et à gérer des applications uniques plus rapidement que jamais.)