L'un des plus gros défauts du développement logiciel traditionnel, sur mesure, est son incapacité à aider les grandes entreprises à faire face à des problèmes inattendus et à s'adapter rapidement au changement.
Et pour cause ! Pendant des décennies, les entreprises ont été bridées par des applications qui manquaient de flexibilité et qui mettaient beaucoup trop de temps à être conçues, développées, testées et déployées. Sans parler du temps qu'il fallait pour assurer leur maintenance, mise à niveau et amélioration. Cette situation annonçait forcément une révolution.
La rapidité est essentielle
Avance rapide : nous sommes maintenant en 2020. Les ravages de la pandémie ont provoqué une croissance exponentielle de la demande en nouvelles applications. Mais nombre d'entreprises sont dépassées par le manque de réactivité de leurs systèmes traditionnels et par un retard considérable dans les processus à mettre en place.
Plus que jamais, la rapidité est essentielle. Ce qui nous amène au commentaire d'Isaac Sacolick, président de StarCIO et auteur à succès, dans le nouveau livre intitulé HYPERAUTOMATION – un recueil d'essais de grands penseurs au sujet de l'avenir du Low-Code et de l'automatisation de l'entreprise.
Sacolick partage des connaissances sérieuses sur la révolution du Low-Code et sur la façon dont il aide les développeurs et les non-développeurs à concevoir des applications et à promouvoir l'expérimentation itérative plus rapidement que jamais.
« Pour être franc, je cherchais un moyen de tricher », explique Isaac Sacolick, DSI chevronné et expert en pratiques agiles, en DevOps et en science des données.
« Je cherchais un moyen de créer des applications plus rapidement. Je voulais briser le cycle de la complexité et permettre aux acteurs du monde des affaires de lister leurs exigences afin de mettre au point des logiciels sur mesure. »
L'essai d'Isaac Sacolick dans HYPERAUTOMATION décompose la valeur métier du Low-Code pour tout DSI soucieux des entreprises. Isaac Sacolick révèle comment le Low-Code permet aux entreprises de créer des applications critiques, sans s'enliser dans des dettes techniques ni se retrouver sur la touche lorsque de nouvelles utilisations de la technologie dépassent une implémentation datant d'à peine quelques mois.
8 façons d'évaluer une plate-forme Low-Code
Mieux vaut couper court au battage des fournisseurs, mais ce n'est pas toujours si simple. C'est pourquoi Isaac Sacolick nous révèle huit questions essentielles pour identifier la plate-forme Low-Code adaptée à votre entreprise :
- Pour quels types d'applications la plate-forme permet-elle un développement rapide ? Assurez-vous de bien comprendre ce qui est facile, ce qui est difficile et ce qui est vraiment hors de portée.
- La technologie offre-t-elle une expérience utilisateur satisfaisante ? Ou les utilisateurs finaux vont-ils subir une expérience utilisateur insatisfaisante, par exemple, sur un téléphone portable ?
- Quelle part de l'application peut être développée avec les outils visuels de productivité de la plate-forme par rapport à la personnalisation d'une grande partie de l'expérience, de la logique métier ou de l'intégration avec le code natif ?
- La plate-forme est-elle déjà connectée aux outils d'intégration utilisés par votre service informatique ? Ou s'intègre-t-elle aux plates-formes d'intégration classiques ?
- L'expérience du développeur améliore-t-elle vraiment la productivité ? Et l'ensemble des compétences attendues correspond-il bien à la stratégie organisationnelle ?
- Les options d'hébergement et les normes de conformité de la plate-forme sont-elles en adéquation avec les exigences de votre entreprise en matière de réglementation, de conformité et de sécurité ?
- Dans quelle mesure le cycle de vie des applications et le processus de développement de la plate-forme peuvent-ils répondre aux exigences minimales nécessaires pour soutenir les améliorations continues des applications de production ?
- Le modèle de coût de la plate-forme est-il efficace au regard des applications que vous avez l'intention de développer ?
Selon Isaac Sacolick, contrairement au développement logiciel traditionnel, le Low-Code permet de s'adapter rapidement à une crise.
« Les mesures de protection du Low-Code permettent aussi d'améliorer la qualité, d'offrir une meilleure l'expérience utilisateur et d'accroître la sécurité de la plate-forme d'hébergement si on compare avec les applications conçues à l'aide de langages de développement natifs », souligne Isaac Sacolick.
Couper court au battage
En résumé, les plates-formes Low-Code et sans code offrent des avantages opérationnels significatifs : elles permettent de déployer des applications plus sûres, avec une configuration minimale de l'infrastructure. Le Low-Code est donc la solution idéale pour aider les utilisateurs de l'entreprise à résoudre de nombreux cas d'utilisation courante : intégrations d'applications, automatisations de workflows, applications mobiles, etc.
Mais ne vous y trompez pas. Le Low-Code n'évince pas pour autant les développeurs, qui jouent un rôle déterminant auprès des non-développeurs en les aidant à appliquer de bonnes pratiques pour créer des applications dont la prise en charge et la maintenance sont assurées.
« Dans les entreprises, les développeurs ont encore besoin de conseils sur les bonnes pratiques en matière de conception d'interfaces utilisateurs, d'architecture de données, de conventions de nommage, de tests et autres aspects de la conception », explique Isaac Sacolick.
Si vous approuvez le Low-Code et que vous avez envie d'y voir plus clair, consultez le commentaire avisé d'Isaac Sacolick dans HYPERAUTOMATION pour un regard pragmatique sur l'avenir du Low-Code et de l'automatisation de l'entreprise.
